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La crise que nous traversons a d’abord touché la finance avant de se propager à l’ensemble des  compartiments de l’économie. Il faut aujourd’hui parer au plus pressé : la chute de l’activité économique mondiale, la montée du chômage, les risques de protectionnisme, les menaces de tensions sociales appellent des politiques vigoureuses. Cependant, la crise financière n’est en rien réglée. Tant qu’elle perdurera, l’économie ne repartira pas. La faire (re)vivre suppose de reconstruire la finance, et pour cela de rétablir la confiance entre les acteurs économiques et les marchés financiers. En vue du Sommet du G20 d’avril 2009, l’Institut Montaigne propose quatre pistes d’actions immédiates : une suspension des pratiques et des règles de marché les plus déstabilisatrices ; l’organisation de la traçabilité des produits financiers ; un programme coordonné de nationalisations bancaires temporaires dans les pays du G20, prélude à une séparation entre banques commerciales d’un côté, banques dites d’investissement de l’autre et la création de nouveaux instruments pour pérenniser le financement des États souverains, actuellement en danger.
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