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Rapport

Ambition pour l'agriculture, libertés pour les agriculteurs

Ambition pour l'agriculture, libertés pour les agriculteurs
Auteurs
Joachim Bitterlich
Directeur des Affaires internationales de Veolia Environnement, ancien diplomate allemand

Diplômé de droit à l'université de Sarrebruck, ancien élève étranger de l’ENA, Joachim Bitterlich est un ancien diplomate allemand.

Il a exercé des fonctions diplomatiques à Alger, à Bruxelles puis auprès du gouvernement et de la Chancellerie fédérale. Il a été Conseiller européen, diplomatique et de sécurité du Chancelier Helmut Kohl. Il fut ensuite Ambassadeur auprès du Conseil de l'Atlantique Nord à Bruxelles puis auprès du Royaume d’Espagne et de la Principauté d’Andorre.

Joachim Bitterlich a été par la suite Executive Vice-President International Affairs du Groupe Veolia Environnement SA à Paris et chairman chez Veolia Environnement Allemagne.

Il est aujourd'hui vice-président du think-tank Notre Europe – Institut Jacques Delors. Il est également professeur à l’ESCP-Europe Paris et membre des conseils d’administration de plusieures institutions du secteur public et privé.

Le présent rapport constate que le monde agricole, en dépit d’un soutien public coûteux, se heurte toujours à des pertes significatives de compétitivité et de rentabilité. Cette situation peut être redressée à condition de se concentrer sur quatre priorités.

La première priorité consiste à redonner à l’agriculture un modèle économique viable, c’est-à-dire réunir les conditions d’un développement économique autonome. La deuxième priorité concerne  la marge de manœuvre. De fait, il est opportun d’octroyer plus de libertés aux agriculteurs, entravés notamment par des contingentements et ralentis par des procédures administratives compliquées. La troisième priorité vise à créer un environnement propice au renforcement de la compétitivité de l’agriculture française. Ce projet implique notamment la réduction du nombre de structures administratives (la « technostructure agricole »). La quatrième et dernière priorité réside en une amélioration significative de la communication afin d’éviter les incompréhensions entre le monde agricole et les citoyens.
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