845 000. C’est le nombre de personnes qui devront être formées au numérique en France entre 2023 et 2030. 845 000 talents à attirer, former, fidéliser pour faire face aux défis de la révolution technologique et permettre à notre pays de garder son rang. Et nous sommes encore loin du compte, comme nous l’expliquons cette semaine dans notre nouvelle note d'action. En 2022, 10 % des emplois dans le numérique n’étaient pas pourvus, l’offre de formation est insuffisante, les reconversions trop peu encouragées et développées. Comment inverser cette dynamique ?

845 000. C’est le nombre de personnes qui devront être formées au numérique en France entre 2023 et 2030. 845 000 talents à attirer, former, fidéliser pour faire face aux défis de la révolution technologique et permettre à notre pays de garder son rang. Et nous sommes encore loin du compte, comme nous l’expliquons cette semaine dans notre nouvelle note d'action. En 2022, 10 % des emplois dans le numérique n’étaient pas pourvus, l’offre de formation est insuffisante, les reconversions trop peu encouragées et développées. Comment inverser cette dynamique ?

On vous parle d’environnement cette semaine, alors que le gouvernement vient de présenter son projet de loi sur les industries vertes, et qu’un texte visant à prévenir les feux de forêt est en discussion à l’Assemblée nationale. Nous interrogeons d’abord le triptyque millénaire défense-énergie-climat et ses mutations contemporaines, sous le triple coup de la guerre en Ukraine, d’une accélération des menaces qui pèsent sur les écosystèmes et de l’impérative transition énergétique.

Il est question d’amitiés et de jeux d’alliance cette semaine. Dans l’UE d’abord. Alors que nous célébrions mardi 9 mai la Journée de l’Europe, quel est l’état de la relation entre Paris et Berlin ? Régulièrement abordé sous le prisme de ses divergences, le “couple” franco-allemand peut-il encore jouer son rôle de moteur dans l’Union ? Si les amitiés de l’intérieur paraissent souvent fragiles, les partenariats extérieurs obéissent à des logiques plus ambiguës encore.

J-10 avant les élections législatives et présidentielle en Turquie, et c’est un séisme d’une toute autre nature qui pourrait gagner le pays le 14 mai prochain. Après 20 ans de règne, Recep Tayyip Erdogan pourrait-il être battu ? Les défaillances de l’État, mises en évidence par les tragiques tremblements de terre du mois de février, comme la dérive autoritaire et clientéliste du régime, largement consommée depuis 2017, pourraient aujourd’hui faire vaciller l’AKP et son leader. Pourraient.

Le Président de la République a entamé cette semaine la deuxième année de son second mandat, dans le vacarme et l’expectative. Que retenir de cette vraie fausse première année et que peut-on attendre de celle qui s’ouvre ? Nous avons quelques idées, qui tiennent davantage du discours de la méthode. En politique étrangère d’abord, les récents revers du président sur la Chine appellent plusieurs évolutions de la diplomatie française, afin de retrouver notamment son leadership au niveau européen.

Cette semaine, l’Institut Montaigne fait peau neuve. Notre site web évolue et nous vous proposons désormais deux espaces complémentaires. Les rapports et les notes d’un côté, fruit de la collégialité et de l’expérience de terrain ; notre nouvelle plateforme Expressions, de l'autre, consacrée à l’actualité et au débat contradictoire. Avec Expressions, nous souhaitons réinvestir le débat démocratique, mettre en avant la pluralité des expertises et faire émerger des idées neuves, dans une période marquée par la défiance et la polarisation.