Dans un rapport publié ce jour intitulé Comment concilier régulation financière et croissance : 20 propositions, l’Institut Montaigne retrace le déroulement des crises qui se sont succédé depuis 2007, analyse les régulations prudentielles en voie d’élaboration et formule des propositions pour concilier stabilité financière et financement de la croissance.

Michel Sapin, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, sera l’invité de la deuxième émission Place aux Idées consacrée au travail, mardi 20 novembre 2012, à 20h45 sur LCP-Assemblée nationale, présentée par Patrick Poivre d’Arvor.

Pendant 70 minutes, Michel Sapin débattra successivement avec Matthias Leridon, président de Tilder, Laurent Bigorgne, directeur de l’Institut Montaigne et Chistian Vanizette, jeune entrepreneur et co-fondateur de MakeSense.

Article de David Bensoussan intitulé "5 idées-chocs pour économiser 50 milliards", paru dans Challenges le 15 novembre 2012.

L'Institut Montaigne publiera prochainement son mode d'emploi pour réduire les dépenses publiques.

Pierre-Mathieu Duhamel, associé KPMG, Président du Comité stratégique de KPMG S.A., ancien Directeur du Budget

Le Président de la République a confirmé cette semaine son objectif d’une réduction des dépenses publiques de 50 milliards d’euros sur l’ensemble du quinquennat et a prévu d’y ajouter un effort supplémentaire de 10 milliards pour financer la politique de compétitivité.

Les évolutions de la politique énergétique au Japon méritent d’être suivies de près en Europe, car elles sont porteuses de leçons. Une politique énergétique efficace doit concilier au mieux trois impératifs : fournir de l’énergie à des prix compétitifs, s’assurer d’approvisionnements sûrs et réduire les nuisances environnementales. Elle doit également être garante du fait que tout changement rapide et radical dans le bouquet énergétique d’un pays doit être soumis à un examen lucide de ses conséquences, de ses avantages et de ses coûts.

Face à la dégradation des résultats de l'économie française, au creusement des déficits publics et à l'augmentation dramatique du chômage, notre pays a à la fois besoin d'un choc et d'une trajectoire de compétitivité. D'abord un choc qui permettra de restaurer au moins en partie les marges des entreprises et donc leur capacité à investir. Ensuite une trajectoire, celle de la nécessaire réduction de nos dépenses publiques. C’est ce double mouvement que propose l’Institut Montaigne depuis de longs mois dans ses travaux.

La commission sur "la rénovation et la déontologie de la vie publique" nommée en juillet dernier et présidée par l'ex-Premier ministre Lionel Jospin a rendu son rapport vendredi 9 novembre. La suppression du cumul des mandats y est présentée comme "la pierre de touche de toute politique de rénovation de la vie publique".

Une exception française

Dans le cadre du IIIème Forum de Genshagen pour le dialogue franco-allemand "Croissance durable, compétitivité, solidarité : quelle stratégie énergétique pour l’Europe ?", la Fondation Genshagen et l’Institut Montaigne ont souhaité interroger les Français et les Allemands sur leur perception des relations franco-allemandes ainsi que leur appréciation des politiques énergétiques des deux pays.

Jean-Paul Tran Thiet, avocat associé au sein du cabinet White & Case

Dans la perspective de cette 3e édition du Forum de Genshagen, et alors que le gouvernement français a affirmé sa volonté de réduire la part du nucléaire dans le mix énergétique français, l’Institut Montaigne formule dans cette nouvelle publication des propositions concrètes pour faire face aux enjeux auxquels notre pays est confronté : hausse durable des coûts, investissements dans la production, innovation et infrastructures énergétiques, sécurité des approvisionnements, avenir de l'énergie nucléaire, exploration du potentiel domestique en matière d'hydrocarbures non conventionnels, etc.<