Depuis les crises financières et bancaires de 2008-2011, le sujet des "classes moyennes françaises" cristallise les débats et fait figure d’incontournable dans les discours politiques. Qu’en est-il vraiment ?
Quelle place serait celle d’une France dirigée par le Rassemblement National au sein d’une Europe reconfigurée par les élections ? Quel avenir serait celui de projets cruciaux liés à la transition énergétique et à la décarbonation dans un contexte souverainiste et eurosceptique ?
L’annonce du résultat des élections législatives européennes s’est doublée de celle de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron. Quelles en sont les répercussions et les enjeux ?
Le Rassemblement National présente un programme pour l'UE axé sur la mobilisation émotionnelle contre un super-État européen, proposant des politiques déjà en place et oscillant entre souverainisme national et européen. Bien que son impact au Parlement européen soit limité, le RN pourrait influencer les politiques françaises en matière d'immigration et d'énergie, mettant en question son coût économique et son influence en Europe.