Santé
Former 25 000 infirmiers et aides-soignants, 1 250 sages-femmes, 5 000 logisticiens et 15 000 médecins de plus par an
Créer un statut de médecin assistant sur les territoires en tension pour les internes en dernière année et doubler leur salaire
Instaurer le droit de mourir dans la dignité
Réformer les conseils de surveillance des hôpitaux qui n'ont pas suffisamment de pouvoir
Remplacer l'ONDAM par des objectifs nationaux de santé publique
Repenser le calcul du budget de l'hôpital : supprimer l'Ondam et discuter le budget au Parlement tous les ans
Sortir du système de tarification à l'acte et le remplacer par une dotation d'État
Supprimer le numerus clausus
Supprimer les Agences régionales de santé
Créer 10 000 lits psychiatriques sur 5 ans
Mettre en place un grand plan pour la dépendance : interdiction des établissements privés à but lucratif, recruter 9 à 10 aidants pour 10 patients
Supprimer la tarification à l’acte
Accorder la gouvernance des hôpitaux aux médecins et personnels soignants
Conditionner l’installation d’un médecin en zone correctement pourvue au départ d’un médecin libéral
Financer les hôpitaux publics selon la situation démographique et sanitaire de leur territoire
Reprendre la dette des hôpitaux
Tripler le budget du sport (3 Md€)
Créer 100 000 places de plus en Ehpad d'ici à 2030
Créer des cartes vitales biométriques pour éviter la fraude sociale
Moduler la rémunération des médecins selon leur lieu d'installation pour lutter contre les déserts médicaux
Remplacer l’aide médicale d’État par une "aide d’urgence vitale"
Revaloriser les salaires du personnel soignant, particulièrement les infirmiers, de l’ordre de 10 %
Supprimer la T2A et revenir aux dotations globales de fonctionnement
Supprimer les ARS et réduire à 10 % les postes administratifs dans les hôpitaux
Créer un service d'urgences gériatriques
Faire un moratoire sur la fermeture de lits à l'hôpital
Investir dans les technologies de santé et rapatrier la fabrication des médicaments
Lancer un plan de soutien d’urgence pour la santé de 20 milliards d’euros
Réduire les postes administratifs pour ne pas dépasser 20 % du personnel non soignant
Réformer la gouvernance en intégrant un système bicéphale pour y placer le directeur d’hôpital ainsi qu’un représentant du corps des médecins
Améliorer l’accès aux soins en urgence
Autoriser les paramédicaux à accomplir de nombreuses tâches
Continuer la simplification de l’hôpital et de sa gouvernance
Désigner un infirmier référent sur certains territoires en tension et permettre le renouvellement d'ordonnance par ces infirmiers ou pharmaciens
Développer les biomédicaments contre les cancers et maladies chroniques
Instaurer plus de flexibilité pour les acteurs de santé au niveau du territoire entre l’hôpital, les maisons de santé, les libéraux
Renforcer les processus de prévention
Renforcer massivement les déserts médicaux : développer la téléconsultation, développer l’internat en province
Instaurer le 100 % Sécu en remboursant 100 % les soins de santé prescrits et en intégrant les mutuelles dans la Sécurité sociale
Recruter 100 000 soignants
Supprimer la tarification à l’acte
Créer 10 000 places en EHPAD publics pendant cinq ans
Former, qualifier et recruter en nombre suffisant le personnel nécessaire pour lutter contre la dépendance (au moins 210 000 personnes)
Interdire le dépôt de brevets sur les médicaments et les équipements nécessaires à une réponse sanitaire urgente
Reconnaître le burn out comme maladie professionnelle
Retirer la dette Covid des comptes de la Sécurité sociale
Revaloriser les salaires du personnel hospitalier et titulariser les plus précaires
Former et recruter 25 000 soignants de plus sur le quinquennat
Porter la consultation médicale à 30 € sans hausse du reste à charge des patients
Augmenter les tarifs des consultations médicales pour les actes techniques
Changer la gouvernance des hôpitaux
Créer un institut national de la santé mentale
Créer une 4e année de formation en médecine générale dans un désert médical, qui permettra de créer 4 000 "docteurs juniors de médecine générale" d’ici 2025
Demander à l'Assurance Maladie de prévoir par région une dotation "lutte contre la désertification sanitaire"
Diviser par deux, d'ici la fin du quinquennat, le délai moyen pour obtenir une consultation chez un médecin
Instaurer un stage de médecine générale dans toutes les études de médecine
Mettre en place un système de partage de données entre les hôpitaux publics et privés
Mettre fin au numerus clausus dans les universités de santé
Offrir à chaque Français un accès aux soins à moins de 30 minutes de son domicile
Offrir la possibilité aux hôpitaux de choisir leur statut de fondation
Permettre aux personnels paramédicaux ayant déjà cinq ans d'études supérieures de rejoindre le deuxième cycle des études médicales
Permettre le rachat de RTT pour les soignants
Revaloriser les primes pour les soignants lors de leurs déplacements à domicile
Aller vers une prise en charge à hauteur de 100 % de la Sécurité sociale
Arrêter la fermeture de lits et les privatisations d'établissements
Créer 300 000 emplois en EHPAD et 100 000 aides à domicile d'ici 3 ans
Décréter un moratoire sur la fermeture des centres médico-psycholologiques (pour les adultes) et les centres médico-psycho-pédagogiques (pour les enfants)
Développer sur tout le territoire des centres de soins d'accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)
Généraliser le tiers payant
Instaurer un droit effectif à l’autonomie et la non prise en compte des revenus du conjoint pour le calcul de l’allocation adulte handicapé
Mettre fin à la tarification à l'acte (T2A)
Ouvrir 12 000 places d'étudiant(e)s en médecine au lieu de 8 000 places actuellement
Supprimer les dépassements d'honoraires et négocier le retour à un secteur conventionnel unique
Supprimer les franchises médicales et les participations forfaitaires
Créer 1 000 postes de médecin d'urgence dans toutes les régions
Créer des services de santé de proximité d’urgence, de suivi et de prévention
Doubler les effectifs des étudiants en médecine
Rétablir l'obligation de garde des médecins
Supprimer les ARS et transférer leurs compétences aux services préfectoraux