La ville de Nantes dispose d’un réseau de transports en commun riche, composé notamment de 44 km de voies de tramway. Cependant, la part des transports en commun dans les modes de déplacement s’y élève à 29 %, ce qui est inférieur à la moyenne constatée dans les 11 plus grandes villes françaises (33,5 %).
Nantes offre 225 km de pistes cyclables et 89 stations de vélos en libre-service. Cette offre est complétée par celle de l’agglomération, avec au total 450 km de pistes cyclables, soit 1,5 km de pistes pour 1 000 habitants et 103 stations de vélos en libre-service. Nantes compte en moyenne 2,6 vélos accessibles en libre-service pour 1 000 habitants, ce qui en fait la ville la moins bien dotée comparativement aux autres villes étudiées dans le cadre de cette opération, qui comptent en moyenne une offre de 5,1 vélos pour 1 000 habitants.
Nantes dispose de 79 bornes de recharge pour les véhicules électriques.
Les conducteurs perdent 130 heures par an dans le trafic routier nantais, un chiffre néanmoins légèrement inférieur à la moyenne constatée pour les 11 villes étudiées (143,6 heures).
Indicateur | Source |
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Kilomètres de lignes de métro et/ou de tramway | Sites des autorités organisatrices des transports |
Kilomètres de pistes cyclables pour 1000 habitants | |
Nombre de vélos en libre-service pour 1 000 habitants | |
Nombre annuel d’heures passées dans les embouteillages par conducteur |
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Nombre annuel d’accidents corporels de la circulation pour 10 000 habitants | |
Nombre de bornes de recharge électrique pour 1 000 habitants | Somme du nombre des bornes standards, semi-accélérées, accélérées et rapides sur les limites géographiques de la ville : https://fr.chargemap.com/map |
Avec un réseau de bus et de tramway se déployant respectivement sur 322 km et sur 60,5 km, les habitants de la ville de Montpellier réalisent 23,7 % de leurs déplacements en utilisant les transports en commun. Cette part est relativement faible, les communes de taille comparable parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération ayant systématiquement une proportion d’usagers des transports en commun plus élevée, comme à Strasbourg (29,9 %), Bordeaux (29,2 %) ou Lille (35,8 %).
La ville dispose d’un réseau de pistes cyclables de 160 km et d’un réseau de 49 bornes de vélos en libre-service, comprenant 550 vélos. Les Montpelliérains disposent de 2 vélos accessibles en libre-service pour 1 000 habitants, un chiffre bien inférieur à la moyenne constatée parmi les 11 plus grandes villes françaises ici étudiées (5,1 vélos pour 1 000 habitants).
L’usage de la voiture reste important et les conducteurs ont perdu en moyenne 163 heures dans les embouteillages en 2018, ce qui constitue une évolution de + 9 % par rapport à 2017. La ville de Montpellier est l’une des villes les plus congestionnées parmi les 11 villes étudiées.
Indicateur | Source |
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Kilomètres de lignes de métro et/ou de tramway | Sites des autorités organisatrices des transports |
Kilomètres de pistes cyclables pour 1000 habitants |
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Nombre de vélos en libre-service pour 1 000 habitants | |
Nombre d’heures passées dans les embouteillages par conducteur |
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Nombre annuel d’accidents corporels de la circulation pour 10 000 habitants | |
Nombre annuel de bornes de recharge électrique pour 1 000 habitants | Somme du nombre des bornes standards, semi-accélérées, accélérées et rapides sur les limites géographiques de la ville : https://fr.chargemap.com/map |
Part des transports en commun dans les modes de déplacement | Insee, recensement de la population 2015, exploitation complémentaire. https://www.insee.fr/fr/statistiques/3714237#graphique-Figure1 Figure 2 « Proportion des différents modes de déplacement principal domicile-travail des salariés résidant dans les villes-centres des aires urbaines de plus de 400 000 habitants ». |