La ville de Rennes connaît une croissance relativement constante du parc de logements depuis 2009 : ce dernier a augmenté de près de 16,7 % en près de dix ans.
Le nombre d’autorisations de construction de logements, après avoir atteint un point bas en 2009 à 689, a lui augmenté de 22 % par an sur la décennie, avec un pic à 3 698 logements en 2015. Le nombre de logements autorisés à la construction s’est établi à 2 344 en 2018, soit 240,2 % de plus qu’en 2009.
Élue en 2014, la maire Nathalie Appéré, par ailleurs présidente de l’Agence nationale de l’habitat (Anah), avait annoncé un plan volontariste de création de logements à vocation sociale (accession aidée, logements aidés, locatif social). Aujourd’hui, la municipalité met en avant la nécessaire augmentation de l’offre pour juguler la hausse des prix des logements, ainsi qu’un impératif d’attractivité pour la ville. En dépit de ce dynamisme, la surface végétale et boisée de la commune n’a pas diminué depuis 2008.
Les Rennais sont davantage locataires que la moyenne nationale (34,6 % de propriétaires parmi les foyers en résidence principale, un chiffre légèrement inférieur à la moyenne des 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération). Le taux de logements vacants est faible (6,7 %) et fait de Rennes la deuxième ville en matière d’occupation des logements. Le parc de logements sociaux compte pour 21,1 % du parc total, en conformité avec les obligations de la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU), un chiffre légèrement supérieur à la moyenne des 11 villes étudiées (20,7 %).
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |
La population lyonnaise a augmenté de 8,6 % entre 2008 et 2016, passant ainsi de 474 946 à 515 695 habitants. Sur cette période, la part des logements sociaux a progressé de 7,7 % et s’établit à 20,2 % en 2016 (un chiffre légèrement inférieur à celui constaté en moyenne dans les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération), contre 19,8 % en 2014 et 18,7 % en 2008.
La part des logements vacants reste relativement stable et représente 8,2 % du parc en 2016, contre 8,7 % en 2009 et en 2014. Là encore, cette vacance est plutôt conforme à la moyenne des 11 villes étudiées.
Environ un tiers des résidences principales (33,8 %) est occupé par des propriétaires, ce qui est moins que dans les autres villes en moyenne.
Les zones végétales et boisées, dont la part avait régressé entre 2008 et 2014 (- 6,6 %), progressent à nouveau et représentent 1,8 % de la superficie communale. Cette évolution fait de Lyon la ville ayant connu la plus grande reconquête des zones végétales et boisées, parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération, dont beaucoup ont vu ces zones régresser sur cette période.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |