Sur la période 2014‑2018, les autorisations de constructions octroyées par la ville de Nantes ont diminué significativement, tant en nombre de logements (- 31 % si l’on compare le nombre de logements autorisés en 2014 avec le nombre de 2018) qu’en surfaces (- 26 %).
Cette diminution des constructions n’a pas eu d’impact sur le taux d’occupation des logements puisqu’on constate qu’entre 2011 et 2016, la part des logements vacants a stagné à 6 %. Parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération, Nantes est ainsi la ville présentant le plus faible taux de logements vacants.
Avec un taux de propriétaires parmi les résidences principales établi à 37,6 % en 2016, Nantes arrive en troisième position parmi les 11 villes étudiées. La part des logements sociaux (22,1 % en 2017) est supérieure à la moyenne observée pour les 11 villes étudiées.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |
Le logement représente un des principaux enjeux à Paris dans un contexte de dynamique très forte des prix de l’immobilier (+ 55 % en 10 ans, avec un prix moyen au m² qui dépasse désormais les 10 000 €). Dans ce contexte, la priorité a été donnée par la municipalité au développement du parc de logements sociaux qui représente désormais plus de 20 % des logements, contre 15,6 % en 2008 et 18,46 % en 2014. Le taux de 25 % en 2025 devrait être atteint. En parallèle, la ville de Paris a mis en place une politique d’encadrement du prix des loyers et engagé des actions contre les plateformes de location saisonnière.
Paris se caractérise par une densité très importante, de l’ordre de 210 habitants à l’hectare. Le nombre total de logements à Paris est de 1,4 million, dont 84 % de résidences principales, et le stock de logements évolue peu. Le taux de propriétaires occupants est relativement bas et inférieur à la moyenne des 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération (33 %). Le stock de logements vacants relativement élevé (8,1 %), bien que conforme à la moyenne des autres villes étudiées.
L’offre de logements se développe peu : le nombre de constructions nouvelles autorisées chaque année oscille aux alentours de 4 000, en diminution de 22 % par rapport à 2014, avec 5 235 logements autorisés cette année-là. A noter néanmoins que ce chiffre est en hausse de 11 % par rapport à la situation il y a 10 ans, puisqu’en 2008 le nombre de logements dont la ville de Paris avait autorisé la construction s’établissait à 3 662.
Le développement de l’offre concerne en particulier les 15 zones d’aménagement concerté (ZAC) en vigueur. Les ZAC sont un dispositif juridique permettant à une commune de mettre en œuvre, sur un périmètre délimité, un projet d’aménagement urbain “sur mesure” intégrant généralement des logements, des commerces et des bureaux.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |