Entre 2014 et 2018, les autorisations de constructions octroyées par la ville de Montpellier ont augmenté, tant en nombre de logements (+ 27 %) qu’en surface (+ 29,8 %). Ainsi, 4 027 logements ont été autorisés en 2018, contre 3 152 en 2014 et 2 610 en 2009.
Parallèlement, la superficie des zones végétales et boisées a diminué de 1,8 % entre 2013 et 2016.
Avec 62 % de propriétaires parmi les résidences principales, Montpellier arrive en tête au regard de cet indicateur parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération. Elle est également la troisième ville en matière de part des logements sociaux, avec un taux établi à 22,8 % en 2016, se rapprochant ainsi de la cible de 25 % à horizon 2025 prévue par la loi Solidarité et renouvellement urbain. Elle présente une part des logements vacants légèrement inférieure au taux moyen observé parmi les 11 villes.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |
La population lyonnaise a augmenté de 8,6 % entre 2008 et 2016, passant ainsi de 474 946 à 515 695 habitants. Sur cette période, la part des logements sociaux a progressé de 7,7 % et s’établit à 20,2 % en 2016 (un chiffre légèrement inférieur à celui constaté en moyenne dans les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération), contre 19,8 % en 2014 et 18,7 % en 2008.
La part des logements vacants reste relativement stable et représente 8,2 % du parc en 2016, contre 8,7 % en 2009 et en 2014. Là encore, cette vacance est plutôt conforme à la moyenne des 11 villes étudiées.
Environ un tiers des résidences principales (33,8 %) est occupé par des propriétaires, ce qui est moins que dans les autres villes en moyenne.
Les zones végétales et boisées, dont la part avait régressé entre 2008 et 2014 (- 6,6 %), progressent à nouveau et représentent 1,8 % de la superficie communale. Cette évolution fait de Lyon la ville ayant connu la plus grande reconquête des zones végétales et boisées, parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération, dont beaucoup ont vu ces zones régresser sur cette période.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |