Avec un réseau de bus et de tramway se déployant respectivement sur 322 km et sur 60,5 km, les habitants de la ville de Montpellier réalisent 23,7 % de leurs déplacements en utilisant les transports en commun. Cette part est relativement faible, les communes de taille comparable parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération ayant systématiquement une proportion d’usagers des transports en commun plus élevée, comme à Strasbourg (29,9 %), Bordeaux (29,2 %) ou Lille (35,8 %).
La ville dispose d’un réseau de pistes cyclables de 160 km et d’un réseau de 49 bornes de vélos en libre-service, comprenant 550 vélos. Les Montpelliérains disposent de 2 vélos accessibles en libre-service pour 1 000 habitants, un chiffre bien inférieur à la moyenne constatée parmi les 11 plus grandes villes françaises ici étudiées (5,1 vélos pour 1 000 habitants).
L’usage de la voiture reste important et les conducteurs ont perdu en moyenne 163 heures dans les embouteillages en 2018, ce qui constitue une évolution de + 9 % par rapport à 2017. La ville de Montpellier est l’une des villes les plus congestionnées parmi les 11 villes étudiées.
Indicateur | Source |
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Kilomètres de lignes de métro et/ou de tramway | Sites des autorités organisatrices des transports |
Kilomètres de pistes cyclables pour 1000 habitants |
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Nombre de vélos en libre-service pour 1 000 habitants | |
Nombre d’heures passées dans les embouteillages par conducteur |
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Nombre annuel d’accidents corporels de la circulation pour 10 000 habitants | |
Nombre annuel de bornes de recharge électrique pour 1 000 habitants | Somme du nombre des bornes standards, semi-accélérées, accélérées et rapides sur les limites géographiques de la ville : https://fr.chargemap.com/map |
Part des transports en commun dans les modes de déplacement | Insee, recensement de la population 2015, exploitation complémentaire. https://www.insee.fr/fr/statistiques/3714237#graphique-Figure1 Figure 2 « Proportion des différents modes de déplacement principal domicile-travail des salariés résidant dans les villes-centres des aires urbaines de plus de 400 000 habitants ». |