Si l’on compare les chiffres de 2018 à ceux de 2014, les autorisations de constructions octroyées par la ville de Marseille ont progressé, de 2,4 % en nombre de logements, et de 10,3 % en termes de m². En 2018, la ville a ainsi autorisé la construction de 5 241 logements, contre 5 118 en 2014.
Parallèlement, la part des logements vacants est resté stable (+ 0,6 point entre 2011 et 2016), s’établissant à 7,8 % en 2016, tout comme celle des logements sociaux, qui s’établit à 20,1 % en 2019.
Le taux de propriétaires parmi les résidences principales est de 44 %, un chiffre nettement supérieur à la moyenne des 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération. Avec un taux de logements sociaux établi à 20,1 % en 2019, Marseille se situe dans la moyenne de ces 11 villes.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |
Depuis 2014, les nombres de logements ainsi que de m² dont la ville de Lille a autorisé annuellement la construction ont augmenté de respectivement 10,4 % et 10,2 %. La ville a ainsi autorisé la construction de 2 219 logements en 2018, contre 1 988 en 2014 et 1 570 en 2009.
La part de logements sociaux s’élève à 23,7 % du parc total, un taux élevé, en conformité avec les obligations de la loi Solidarité et renouvellement urbain. Parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération, Lille arrive ainsi en seconde position en matière de part des logements sociaux dans le parc de logements.
Le taux de propriétaires parmi les résidences principales s’élève à 28 %, un chiffre nettement inférieur à la moyenne observée parmi les 11 villes étudiées. La part des logements vacants à Lille est relativement élevée en comparaison aux autres villes étudiées. Elle est en augmentation et atteint 9,1 % du parc de logements en 2016, contre 6,8 % en 2011.
Les zones végétales et boisées progressent quant à elles de 0,8 % entre 2013 et 2016, une progression nettement supérieure à la situation des autres villes étudiées pour cette opération, dont une grande majorité a vu ces zones régresser.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |