La population lyonnaise a augmenté de 8,6 % entre 2008 et 2016, passant ainsi de 474 946 à 515 695 habitants. Sur cette période, la part des logements sociaux a progressé de 7,7 % et s’établit à 20,2 % en 2016 (un chiffre légèrement inférieur à celui constaté en moyenne dans les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération), contre 19,8 % en 2014 et 18,7 % en 2008.
La part des logements vacants reste relativement stable et représente 8,2 % du parc en 2016, contre 8,7 % en 2009 et en 2014. Là encore, cette vacance est plutôt conforme à la moyenne des 11 villes étudiées.
Environ un tiers des résidences principales (33,8 %) est occupé par des propriétaires, ce qui est moins que dans les autres villes en moyenne.
Les zones végétales et boisées, dont la part avait régressé entre 2008 et 2014 (- 6,6 %), progressent à nouveau et représentent 1,8 % de la superficie communale. Cette évolution fait de Lyon la ville ayant connu la plus grande reconquête des zones végétales et boisées, parmi les 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération, dont beaucoup ont vu ces zones régresser sur cette période.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |
Depuis dix ans, notamment du fait de l’opération d’intérêt national Bordeaux Euratlantique qui a accompagné l’achèvement de la ligne TGV, la ville de Bordeaux a autorisé davantage de constructions de logements, ce dynamisme allant de pair avec l’augmentation de la population. En 2018, la ville a ainsi autorisé la construction de 2 792 logements, contre 2 093 en 2014 et 1 337 en 2009.
Disposant d’un bâti homogène et relativement bas, Bordeaux s’ouvre vers le Sud non seulement en densifiant ses marges mais également en cherchant à atteindre progressivement les cibles qui lui ont été fixées en matière de logement social. Le taux de logements sociaux progresse mais reste en-deçà de l’obligation fixée par la loi (17,3 % en 2016, contre 16,6 % en 2014) et inférieur à la moyenne des 11 villes étudiées dans le cadre de cette opération (20,7 %).
Le taux de propriétaires parmi les résidences principales s’élève à 28,3 % (2015), un chiffre bien inférieur à la moyenne des 11 villes étudiées (37,2 %).
Grâce à un taux de logements vacants de 6,9 % (2015), Bordeaux est la troisième ville présentant le moins de vacance parmi les 11 villes étudiées.
Indicateur | Source |
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Part des logements sociaux | Site de la ville |
Part des logements vacants | |
Evolution du nombre de logements et de m² dont la commune a autorisé la construction | http://developpement-durable.bsocom.fr/Statistiques/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=14235 |
Taux de propriétaires parmi les résidences principales | https://www.insee.fr/fr/statistiques/3564300?sommaire=3561690#consulter |
Evolution des zones végétales et boisées de la commune | www.cerema.fr/system/files/documents/2018/05/evol_naf_com_2006_2016.ods |