AccueilNotre démarchePrimaire de la gaucheLe grand décryptage Primaire de la gaucheA l’occasion de l’élection présidentielle de 2017 et suite au fort intérêt porté par les citoyens, par les responsables politiques et les acteurs économiques aux opérations Chiffrages - Déchiffrages 2012, Municipales 2014 : le chiffrage des programmes et Régionales 2015, l'Institut Montaigne renouvelle cette initiative à l’occasion de l’élection présidentielle de 2017.Le choix d’une opération en deux tempsL’Institut Montaigne se propose d’apporter à l’occasion des prochaines échéances électorales (primaire de la droite et du centre les 20 et 27 novembre 2016 ; primaire du Parti socialiste les 22 et 29 janvier 2017 ; élection présidentielle les 23 avril et 7 mai 2017) un éclairage étendu et approfondi sur les programmes et les propositions soumis aux citoyens.Cette opération s’ouvrira par l’analyse thématique des propositions des candidats aux primaires (réduction de la dépense publique, temps de travail, retraites, réforme des institutions, etc.). Ce dispositif sera ensuite élargi dès la désignation des principaux candidats à l’élection présidentielle. Ce second temps permettra une analyse approfondie des propositions avancées par chacun d’eux.L’enjeu : apporter aux citoyens des éléments objectifs d’appréciation des propositions formulées par les responsables politiques. En complément de l’exercice de chiffrage, nous analysons les propositions à la lumière d’éléments non budgétaires, afin de décrypter :leur mise en œuvre : quel processus pour que la proposition entre en vigueur (réglementaire, législatif, révision de la constitution ? publics concernés ?) ;l’historique de la proposition : la proposition a-t-elle déjà été appliquée / avancée en France ? quand et par qui ? pour quels effets ? ;la proposition à l’étranger : la proposition a-t-elle déjà été appliquée / avancée à l’étranger ? quand et par qui ? pour quels effets ?Cette nouvelle grille d’analyse s’inscrit pleinement dans l’objectif de pédagogie et de synthèse de l’Institut Montaigne. La présentation de ces informations vise à les rendre accessibles au plus grand nombre.Nos objectifsContribuer à la crédibilité de la parole et de l'action politique, en incitant les candidats et les partis à davantage d'objectivité, de responsabilité et de transparence dans leurs engagements électoraux ;apporter des éléments au débat démocratique, en mettant à la disposition des électeurs et des médias une cartographie des repères sur la situation des finances publiques ainsi qu'un recensement des arguments avancés pour chaque proposition ;sensibiliser aux enjeux financiers et budgétaires : la gestion financière va être de plus en plus contrainte. Cette nouvelle donne doit être débattue et prise en compte à l'heure des élections.Nos principesLa neutralité absolue de l'équipe des chiffreurs : notre opération couvre l'ensemble du champ politique ; certes, tous les experts impliqués ont des opinions politiques mais chacun s'engage à travailler dans la plus complète objectivité.Une exigence de qualité maximale : les membres de l'équipe sont des experts reconnus dans le domaine des finances publiques. Les procédures successives de validation et la collégialité de nos travaux garantissent la qualité des analyses et des chiffrages.La contradiction et l’interaction est au cœur de notre démarche : de nombreuses propositions de campagne sont difficilement chiffrables faute d'un niveau de détail suffisant ou nécessitent de faire des hypothèses. Il est important qu'un dialogue contradictoire s'engage pour permettre aux candidats de préciser les chiffrages, de faire valoir un droit de réponse ou de s'exprimer sur les chiffrages de leurs concurrents. Les chiffrages évolueront également grâce aux nouvelles informations transmises par les candidats ou portées par eux dans le débat public.La transparence des analyses et des calculs : l'équipe travaille uniquement sur des données publiques et nos sources sont systématiquement précisées ; tous les éléments de chiffrage seront donc accessibles et vérifiables en ligne.Une évaluation chiffrée des propositions des candidats. En revanche, les effets indirects ou trop incertains des mesures contenues dans les programmes ne seront pas pris en compte.